Déçu·es par le manque d’ambition des politicien·nes, les militant·es pour la justice climatique organisent un mouvement de grève à quelques jours des élections.
Ce 22 mars, c’est en manifestant à nouveau pour la gratuité scolaire que les étudiant·es ont souligné les dix ans écoulés depuis un point culminant de la grève de 2012.
Les occupant·es dénoncent les investissements détenus par l’université dans des entreprises fossiles qui contribuent à la crise climatique et à la colonisation des territoires autochtones.
Faire la grève, c’est déjà « changer les règles du jeu » en faisant l’expérience d’une autre façon de vivre, au-delà du travail et de la politique ordinaire, selon les auteur·trices du livre On s’en câlisse.
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