Ils demandent que le programme pour régulariser le statut des migrant·es sans papiers, promis par Ottawa, fasse une place à toutes les femmes sans statut, notamment celles qui vivent de la violence.
Des groupes féministes et de défense des droits des migrant·es se sont réunis pour rappeler que les femmes sans papiers sont particulièrement exposées à plusieurs sortes de violence, comme la violence au travail, à la maison, etc.