Le képi du général de Gaulle (et le projet de loi 96)
Le projet de loi 96, en particulier les dispositifs qui limitent la langue de communication entre les individus et l’État, risque de fragiliser le contrat moral que s’est donnée la société québécoise : celui d’accompagner, dans un esprit de réciprocité, l’accueil et l’intégration des personnes immigrantes, réfugiées et demandeuses d’asile.